6/12/2018 Pantone dévoile la couleur de l'année !
Les couleurs des années précédentes Les experts de l’institut d’études des tendances sillonnent le monde à la recherche de nouvelles influences chromatiques, du secteur des divertissements à la production cinématographique, en passant par les collections de l’art du voyage et les nouveaux artistes, la mode, tous les secteurs créatifs et les destinations touristiques en vogue, mais aussi les nouveaux modes de vie, façons de jouer et les conditions socio-économiques.
Les influences peuvent également naître du progrès technologique, des matériaux, des textures et des effets qui influent sur les couleurs, des plates-formes de réseaux sociaux, voire de futurs événements sportifs sur lesquels seront rivés les yeux du monde entier. 19/10/2018 Portrait de client : les bocaux d'Emilie
Les Bocaux d'Emilie c'est une conserverie spécialisée en alimentation bio pour enfants. Des petits pots réalisés (avec beaucoup d'amour) à partir de produits de producteurs locaux certifiés en agriculture biologique qu'elle rencontre personnellement. Les pots seront en vente en ligne prochainement, à l'unité ou par boxs qui proposeront aux parents des menus pour le mois élaborés avec une diététicienne en fonction de l'âge de l'enfant. Et pour aller au bout de la démarche, la conserverie proposera une option zéro déchet : un bon retour permettra de renvoyer les bocaux vides afin qu'ils soient réutilisés. Que les passionnés de bocaux comme nous se rassurent, la consigne n'est pas obligatoire. Pas sur quand même qu'on garde les 1500 bocaux qu'un enfant va potentiellement utiliser entre ses 6 et 24 mois ! Enfin des petits cadeaux viendront se glisser dans les boxs : que du fait-main par des créateurs et créatrices locales :) La boutique en ligne est en cours de conception par nos soins... En attendant, un site internet vitrine vous présente le concept et un formulaire de pré-inscription est en ligne pour être les premiers à recevoir votre box ‣ www.lesbocauxdemilie.com A suivre ! Et vous ?Comme Emilie vous êtes en reconversion professionnelle, vous vous lancez dans l'entreprenariat, ... Découvrez nos prestations CREATEUR D'ENTREPRISE 9/1/2018 Histoires de rebelles.3h30 du matin, aujourd’hui mon cerveau a choisi ce créneau là pour devenir hyper productif, refaire la journée d’hier, anticiper celle d’aujourd’hui, penser aux mails à envoyer, imaginer les prochains posts sur les réseaux sociaux… Sympa ! Alors pour une fois, plutôt que de m’acharner à me rendormir (chose qui ne se produirait qu’autour des 5h du matin, autrement dit beaucoup trop tard pour être en forme) j’ai décidé d’allumer la lumière et de prendre un livre (chose qui ne se produit que très rarement !). A Noël, quelqu’un qui visiblement à percer l’une des caractéristiques du fond de ma personnalité m’a offert « Histoire du soir pour filles rebelles ». Une compilation de 100 destins de femmes extraordinaires, qui n’ont pas forcément changé la face du monde, mais qui ont le mérite d’avoir pris les choses en main pour changer le leur. Militantes, astronaute, rockstar, pirate, personnalités célèbres ou femmes de l’ombre du siècle dernier, toutes ont une histoire singulière à saluer. Je regarde d’abord le sommaire pour repérer peut-être un destin qui m’attire plus qu’un autre (je ne commence jamais un livre par le début), je cherchais en fait dans la liste le destin d’une « Entrepreneure ». Il n’y en a pas. Chaque personnage est illustré, ce qui rend la lecture assez ludique et agréable. Je m’attarde sur une navigatrice australienne, Jessica Watson qui n’a même pas 25 ans aujourd’hui. Etant plus jeune, elle avait peur de l’eau. Alors qu’elle jouait avec des amis au bord de la piscine, sa mère la surveillait, de peur qu’elle ne panique étant persuadée qu’elle ne poserait jamais un pied dedans. « 1, 2, 3… Plouf », stupéfaction totale quand elle vit sa fille rire aux éclats et s’amuser dans l’eau. Quelques années plus tard et à seulement 16 ans, Jessica bouclait le tour du monde en solitaire à la voile en 7 mois dans un bateau qu’elle avait peint en rose vif et baptisé « Ella’s Pink Lady ». Je crois qu’en fait, toutes les femmes présentes dans ce livre sont des entrepreneures. Peut être pas au sens juridique du terme mais elles ont ce dénominateur commun : l’envie. L’envie de ne rien faire comme les autres, de ne pas suivre son destin mais le bousculer et au passage « rabaisser le caquet » de bon nombre de personnes. Je vois passer beaucoup de choses sur les femmes entrepreneurs, des réseaux, des articles, des groupes 100% « girl power », je n’ai rien contre, mais j’ai du mal à m’identifier là-dedans. J’ai l’impression que c’est un peu comme s’auto-catégoriser plus fragile ou vulnérable. D’ailleurs je ne vois pas pourquoi il faudrait distinguer les « femmes entrepreneurs », on ne parle pas « d’hommes entrepreneurs », on dit juste des entrepreneurs…( bref, c’est un autre débat mais à 4h du matin, il est beaucoup trop tôt pour en discuter). Alors bien sûr il y a l’effet de groupe, le soutien, les apéros pour partager ses inquiétudes mais la clé de la réussite n’est pas là. La clé de la réussite elle est à l’intérieur, trouver cette force de faire le premier pas (comme de plonger dans la piscine) et entretenir ensuite cette flamme de détermination qui brûle en vous. C’est un peu ce qui ressort de tous les destins présentés dans ce livre dédié normalement à un public plutôt jeune pour encourager "filles et garçons à suivre leurs rêves" (quatrième de couverture). Je préfère penser qu'il n'y a pas d'âge pour suivre ses rêves. Je conseille d’ailleurs ce livre à tous ceux qui ont besoin d’enthousiasme, de réconfort et de paillettes dans leur projet ! « On ne peut pas changer les conditions mais on peut changer notre manière de les affronter. » J.Watson C.
8/1/2018 Welcome 2018 !Le plus dur pour reprendre son blog, c'est comme pour reprendre le footing, c'est de mettre ses baskets.. ou plutôt de rouvrir un article.
Nous y voilà. J'aime cette période qui inspire aux nouveaux projets ! 2017 a été une année assez intense sur différents plans. Nous avons enfin concrétisé la SAS Divergentes Communication. Une entrée dans la cours des grands qui ne s'est pas faite sans peine, vive l'administration. Je suis devenue professeur de Yoga et cela occupe mon planning maintenant à raison de 7 à 9 heures de cours par semaine. Cette nouvelle « activité » est venue bousculer notre organisation, l'équilibrer aussi. Elle a bousculé mon approche également et c'est peut être ce qui a créé ma difficulté à garder ce blog alimenté. On ne peut pas mettre une casquette puis l'enlever comme si de rien n'était. J'écris beaucoup pour préparer mes cours, sur des thèmes spirituels, philosophiques, .. et tout d'un coup écrire sur la communication, le marketing, en fait tout cela ne faisait plus sens. Comme lorsque je rencontre aujourd'hui un nouveau client avec les problématiques qu'il m'expose liées à la communication de son entreprise et que je m'aperçois vite qu'il a surtout besoin de travailler sa légitimité, son rapport à lui-même, sa posture d'entrepreneur, etc. Pendant une période ces deux parties venaient comme s'entrechoquer, chacune voulant prendre plus de place que l'autre. Et finalement, il y a ce lien évident, entre les deux. Et c'est ainsi que nous avons commencé à proposer dans nos prestations des ateliers d'accompagnement pour les créateurs d'entreprise. Et en réalité c'est tout le sens de Divergentes. Il n'y a pas de barrière pour moi entre la vie professionnelle et personnelle, entre l'entrepreneur et la personne, et c'est d'autant plus vrai pour les toutes petites structures avec lesquelles nous travaillons où bien souvent, l'entrepreneur est l'entreprise a lui tout seul. Alors on peut toujours faire de beaux logos et de super sites internet, mais il y a quelque chose de plus important en amont. Qui êtes-vous ? Qui voulez-vous être ? Pourquoi votre activité ne démarre pas ? Ce n'est peut être pas qu'une question de marketing. Et c'est dans ces questions que nous voulons faire notre spécialité. Je discutais récemment avec une cliente et amie. Coach et thérapeute, elle évoquait sa difficulté à promouvoir son activité parce que la concurrence est bruyante, très expressive, alors comment allait-on l'entendre elle, avec son discours qui se veut authentique et non pas fait de fausses promesses pourtant plus vendeuses. En réalité, elle souhaite juste pouvoir communiquer sans devoir se faire passer pour quelqu'un d'autre, sans devoir endosser un costume qui ne lui va pas. Il est là notre sens. Il est là le lien entre ce que j'ai trouvé dans le Yoga et ce que mes cours me permettent d'exprimer et ce que nous voulons offrir avec Divergentes : permettre aux entrepreneurs de trouver leur ADN, leur sens. Et vous, quel est votre ADN ? M. 18/7/2017 Reconversion professionnelle...Souvent, le rythme ralenti de l'été permet de l'espace nécessaire pour voir émerger de nouveaux projets, de nouvelles envies et peut être un nouveau départ à la rentrée.
"Un français sur trois songerait à une reconversion professionnelle"... Dans cet article intéressant, le magazine Psychologies aborde Le mode d'emploi pour une reconversion professionnelle. De plus en plus, nous accompagnons le temps d'un atelier ou sur plusieurs mois des personnes (surtout des femmes pour tout dire) qui ont envie de se lancer, des audacieuses, des optimistes, des rebelles, des divergentes ;) 9/6/2017 Un client divergentChez Divergentes, on adore les idées nouvelles et les gens qui ont la dose de folie nécessaire pour les lancer.. Nous accompagnons Romain depuis la création de son entreprise MS. home, spécialiste de la construction en containers maritimes. A partir de son projet, ses valeurs, ses ambitions, nous l'avons aidé à travailler sur son positionnement, son image. Mettre des mots sur ses idées et les concrétiser en réalisant les supports nécessaires à son activité..
14/4/2017 Le job parfait n'existe pas[BREAKING NEWS] Le Job parfait n'existerait pas ! Avant-hier après-midi, j'enfourchais mon vélo pour aller donner des cours de Yoga, comme tous les mercredis depuis quelques mois maintenant. Et après un début de semaine et une matinée plutôt intense, j'avais l'impression de revivre, d'être libérée. Libérée de mon bureau, de mon ordinateur...
C'est à double tranchant de ressentir ça. Parce qu'en même temps, qu'est ce que cela signifie ? J'ai choisi mon travail, mon quotidien, alors pourquoi je me sens libérée quand je le quitte ? Est-ce que j'ai envie d'autre chose maintenant ? Et en arrivant au studio de Yoga et en discutant avec la prof gérante (qu'on gardera anonyme :p), je sens qu'elle a hâte de partir en week-end et d'avoir quelques jours sans dispenser de cours. Quoi ? Elle ne passe pas des heures sur un ordinateur comme moi, de quoi a-t-elle besoin de se libérer elle ? Mes clients sont des entrepreneurs, ils ont choisi leur quotidien. Et pourtant, de temps en temps, ils expriment quand même une envie d'autre chose, parfois les problèmes peuvent faire oublier le sens. En voyageant, vous avez peut être déjà imaginé vous installer dans une guinguette et passer le reste de votre vie à servir des cocktails et fabriquer des colliers de perles... mais discuter avec un autochtone et il aura surement envie d'autre chose lui aussi. Vous pouvez croiser des gens qui travaillent dans des endroits paradisiaques (pour nous) et qui rêvent de vivre en Europe. On m'a même déjà dit « mais vous avez trop de chance, l'hiver c'est beau vous pouvez mettre de superbes manteaux, de belles chaussures, ici il fait chaud toute l'année... » WTF ?! Dans mon entourage, les personnes idéalisent parfois ce que je fais, la chance de travailler de chez soi, quand on veut avec les horaires qu'on veut, alors que moi, certains jours, je rêve d'aller au travail, de discuter à la machine à café et de rentrer le soir sans plus y penser avant le lendemain. En réalité, on idéalise souvent ce qu'on voit chez les autres (toujours cette même histoire de l'herbe plus verte) et il n'y a pas de job où vous vous levez chaque matin, éternellement, avec le même enthousiasme et la même envie de faire. Et quelle bonne nouvelle ! J'ai toujours prôné l'idée que l'on peut faire ce qu'on veut, depuis très longtemps (ça doit remonter à un rendez-vous avec une conseillère d'orientation au collège..), qu'on a le choix et que personne ne peut vous dire si vous allez y arriver ou pas. Mais se dire que c'est normal de ne pas avoir envie certains jours et qu'on n'est pas sur le mauvais chemin pour autant, c'est quand même une bonne dose de culpabilité en moins. Tout est question d'équilibre. J'adore accompagner les nouveaux entrepreneurs, ils ont cette fraîcheur, cet enthousiasme à toutes épreuves. C'est ce sentiment précieux qu'il faut préserver, comme un fil rouge. Bon week-end :) 7/4/2017 Demain on jardine !Voilà pourquoi vous devriez aller faire un tour demain à la fête du printemps à Argelès, chez Univers Bassin. Tout d'abord, ne me dites pas que ces belles journées ne vous donnent pas envie d'aménager votre jardin ou le moindre m² d'extérieur que vous avez la chance d'avoir chez vous. Ensuite, pour cette journée spéciale bassin, c'est avant tout la carpe Koï qui sera à l'honneur. Si pour vous avoir des poissons se limitent à un petit aquarium d'intérieur avec quelques poissons rouges, vous verrez que les Koï, si elles peuvent être tachetées de rouges également, ont une toute autre allure. Ce sera l'occasion de comprendre aussi comment vous pouvez enfin oublier tous les systèmes de traitement de l'eau d'une piscine, du pire au "moins pire" et vous offrir enfin une eau vraiment pure avec le traitement biologique. Pour ne rien gâcher, le nouvel espace décoration regorge de choses plus mignonnes les unes que les autres où vous trouverez forcément votre bonheur si, comme nous, vous avez une passion démesurée pour les jolis pots, les photophores, les terrariums, le cuivre, ... Quoi d'autre ? Ah oui, les bougainvilliers sont magnifiques ! Et puis, pour couronner le tout, vous fuyez peut être les grandes surfaces ? Ici, vous serez accueillis par Jean-Luc et sa charmante épouse qui s'occupent de leur magasin avec amour, comme ils entretiendraient leur propre jardin. L'occasion de venir aussi trouver autre chose... On ne vous dira pas qu'il y a une dégustation de vins et mets avec "Au Chai de Pierre" d'Argelès entre midi et deux, parce qu'on en connaît qui ne viendraient que pour ça.. C'est sur la voie rapide vers Argelès, sortie "Taxo d'Amont", dessuite à droite - Parking du Temple du Cactus. A demain :) ![]() Pour ceux qui ne rentrent pas dans les cases "Que faites-vous dans la vie ?" Vous savez si vous rentrez ou pas dans un case à la réponse que vous êtes en mesure de donner à cette question. Pouvez-vous formuler une réponse en trois mots, ou vous faut-il 5 minutes d'explications ? Ou peut être avez-vous une réponse toute faite, très raccourcie qui permet de répondre sans amener trop de questions face à un interlocuteur qui de toute façon ne comprendrait pas ? Prenez le temps de vous mettre dans cette situation d'un inconnu qui vous questionne sur votre profession. Et notez par écrit la réponse qui vous vient à l'esprit spontanément. Particulièrement lorsqu'on est indépendant, la façon dont vous allez parler de votre activité en dit long sur votre sentiment de légitimité, la crédibilité que vous vous accordez, votre relation avec votre posture d'entrepreneur. Et la communication commence à cet instant précis. Si c'est aussi difficile lorsque l'on est indépendant, c'est qu'il n'y a pas de barrière, pas de filet entre vous et l'entreprise.Il n'y a pas une marque derrière laquelle on peut se cacher, ou une organisation qui permet de se justifier. Il n'y a que vous. Et c'est en cela aussi que c'est d'autant plus important. Vos clients vont d'abord vous choisir vous, parce que c'est vous. Il y a beaucoup d'affectif dans nos choix, bien plus qu'on ne le croit. Comment avez-vous choisi votre coiffeur, votre kiné, votre comptable, votre salle de sport ? Vous avez surement évalué des compétences, écouté des recommandations, mais avant tout, il y a eu un contact et un "feeling" sans quoi vous auriez surement cherché ailleurs. On comprend bien alors l'importance de cette réponse à la question "que faites vous dans la vie?". Mais comment fait-on lorsqu'on a pas un métier qui rentre dans les cases justement ? Lorsqu'il n'y a pas d'intitulé précis, qui permette de vous coller une étiquette comme on aime bien le faire, quand on propose quelque chose qui n'existe pas vraiment encore ? C'est l'objet d'un accompagnement que nous avons démarré cette semaine avec une nouvelle cliente qui au lieu de raisonner comme beaucoup le font et de se dire je vais faire faire mon site internet et mon logo pour lancer mon activité, elle a choisi de travailler d'abord sur sa posture d'entrepreneure, sa légitimité, la façon dont elle va se mettre en avant, ... Tout cela se travaille, comme on apprend à gérer sa trésorerie avec la nuance que vous n'avez pas à vous former à un nouveau logiciel ou à retenir des théories, c'est un travail d'abord sur soi et une découverte de l'entrepreneur que l'on est en train de devenir. C'est un vrai parcours qui demande une réelle volonté. Mais cela peut aussi être une belle aventure qui permet souvent de découvrir des talents et une audace insoupçonnés. "Mais avec internet et tout ce qu'on peut faire, ce n'est pas plus difficile aujourd'hui pour vous de trouver des clients ?"
On nous a posé cette question récemment, ce n'était ni la première ni certainement la dernière fois. Il est vrai qu'aujourd'hui, le commun des mortels qui possède un ordinateur peut créer lui-même son propre site internet sur des plateformes plutôt bien faites en général et pour des rendus de plus en plus professionnels. On trouve des applications pour à peu près tout, créer des vidéos en quelques clics, envoyer des newsletters, réaliser des publications attrayantes pour les réseaux sociaux et toucher instantanément des centaines voir des milliers de personnes. Tout à l'air si facile.. et pourtant, il n'a jamais été aussi complexe pour une entreprise de communiquer, et ce n'est qu'un début. Il n'y a pas si longtemps et en témoignent nos clients sur le marché depuis plus de 20 ans, la communication était simple. Coûteuse mais simple et efficace. Une page dans le journal local, un encart dans le bottin des pages jaunes, ... les supports étaient beaucoup moins nombreux et facilement identifiables. Aujourd'hui, nous sommes tous saturés d'informations et si il n'a jamais été aussi facile d'atteindre sa cible, il n'a jamais été aussi compliqué de capter son attention. Il y a tout juste quelques années, vous pouviez vous démarquer avec un site internet. Aujourd'hui, vous êtes noyés dans la masse. Il faut faire plus, créer du contenu intéressant, un blog par exemple, parler d'autre chose que de soi, offrir du conseil sans chercher à vendre, être présent sans être agressif, ... Il suffit d'observer les stratégies des grandes marques pour comprendre comment évolue la publicité avec l'avantage qu'il y a un toujours un cran de décalage avant l'évolution au niveau local. L'autre jour, je suis tombée sur une vidéo de Bonduelle qui montrait comment à partir de boites de conserve, créer un mini jardin d'herbes aromatiques dans sa cuisine. Que fait la marque ici ? En partageant massivement cette vidéo sur les réseaux sociaux, Bonduelle ne se dit pas "tient en voyant ça, on va doubler les ventes de petits pois en boite". Non, c'est un travail de long terme avec la volonté de rejoindre ses clients dans ce qu'ils aiment faire et regarder sur internet. Le DIY (Do It Yourself) est la grande tendance, boosté par des préoccupations écologiques telles que le recyclage et aussi il faut le dire par la crise, vive le système D. (Que celui qui n'a pas envisagé de créer un meuble en palettes jette la première pierre !) Alors que fait Bonduelle dans notre cas ? Il surfe sur cette vague, quitte à détourner ses produits. Il se rapproche ainsi subtilement des intérêts de sa cible, il vient capter son attention sans lui dire d'acheter, il place ses produits et il travaille l'image de sa marque, il crée une relation. Cela résume bien les enjeux de la communication aujourd'hui, y compris pour les entreprises locales. Sans aller aussi loin, il s'agit d'être inventif sans cesse, créatif, et surtout d'élargir ses perspectives. L'entrepreneur ne peut plus être juste bon dans son métier, il doit être un bon communiquant. Et si il veut tout gérer par lui même, il doit aussi être rédacteur, community manager, webmaster, etc. Alors pour revenir à notre question de départ, je dirais que les petites entreprises n'ont jamais eu autant besoin de se faire accompagner dans leur communication. Notre métier a évolué très vite en cinq ans seulement depuis mes premiers clients. Aujourd'hui les entrepreneurs nous contactent parce qu'ils ont le tournis, parce qu'ils ne savent plus par quoi commencer, que tout est la fois accessible et en même temps chronophage et fastidieux. Et nous le constatons tous les jours, avec les demandes de plus en plus fréquentes de formation, de gestion et d'animation des réseaux sociaux mais aussi de pure consulting. |
LE BLOGDes conseils, quelques astuces, un peu de philosophie et beaucoup de bonne humeur ! CatégoriesTout Clients Conseil En Communication Lifetstyle #nosclientssontdivergents Programmes & Formations Tarifs Archives
Janvier 2022
|
✶ Révélateur de potentiels ✶ L'agence des petites entreprises qui ont de grands projets |contact@divergentes-communication.fr|0628415927
Agence de communication à Perpignan • Consulting - Graphisme - Web • 2 rue Coll de Carrera 66180 Villeneuve de la Raho
Agence de communication à Perpignan • Consulting - Graphisme - Web • 2 rue Coll de Carrera 66180 Villeneuve de la Raho
SAS Divergentes Communication Siren 833228588 - Mentions légales
|