28/10/2016 Je n'ai pas le temps...« Je n'ai pas le temps » C'est surement la meilleure de nos plus mauvaises excuses, notre alibi préféré. Je n'ai pas le temps de faire du sport, je n'ai pas le temps de cuisiner pour manger mieux, je n'ai pas le temps d'appeler mes amis lointains, … Le non sens est dans l'expression même. Elle donne le postulat de départ que le temps est quelque chose que nous possédons comme l'argent. Comme si nous pouvions « Avoir » le temps. Le temps est indépendant de nous même. Il est, tout simplement. Les secondes défilent quoi que l'on fasse. Alors posséder le temps voudrait dire pouvoir se l’accaparer, le garder pour nous, ou pour plus tard. Avec des « je n'ai pas le temps », on garde de côté, pour plus tard (quand j'aurai le temps bien sur, puisque c'est bien connu, un jour on aura tous le temps mais pas maintenant). On garde de côté tout un tas de bonnes résolutions, de projets, d'envies, … Je ne jette pas la pierre, je suis la première à rêver de journée à 48h pour "avoir le temps" de faire tout ce que j'ai prévu. J'entends souvent, je n'ai pas le temps de m'occuper de la communication de mon entreprise, je n'ai pas le temps de mettre à jour mon site internet, je n'ai pas le temps de travailler ma présence sur les réseaux sociaux. Le temps est presque plus souvent le problème que l'argent. Alors pour quoi avez-vous le temps ? J'utilise une application qui est très simple mais bien faite pour mesurer le temps passer sur chacun de mes projets, c'est Toggl Timer. Avoir conscience de ce à quoi on occupe son temps est déjà une première chose (là c'est comme pour la gestion de son argent pour le coup) Il existe d'autres applications sympas comme pour mesurer combien de temps vous passer sur votre smartphone ou tablette comme "Moment" par exemple. Je vous laisse le soin de gérer votre problème de temps pour aller faire du sport et manger plus sainement, et je resterai sur ma partie. De combien de temps avez-vous besoin pour prendre une photo avec votre smartphone et la publier sur facebook avec une petite phrase qui dit le magasin est ouvert ou bien la nouvelle collection est arrivée ? Même avec une mauvaise connexion il ne vous faudra pas plus d'une minute. Vous n'avez pas une minute le matin et une minute l'après-midi ? Vous n'allez donc jamais aux toilettes ?! Imaginez la facilité de nos vies actuelles. Il y a quelques années, il aurait fallu prendre une photo avec un appareil photo, rentrer au bureau ou à la maison, brancher tout ça sur un bon gros ordinateur, attendre qu'il s'allume, récupérer la photo, …. et je ne parle pas du temps où il fallait attendre plusieurs jours pour la faire développer et créer une affiche à base de découpage collage. Nous sommes la société de l’instantané, et tout va tellement vite que nous avons encore moins le temps. L'erreur courante avec la gestion des réseaux sociaux pour un entrepreneur est de vouloir justement consacrer du temps pour ça, de vouloir attendre un moment opportun, de pouvoir bien s'installer et passer 2h à ne faire que ça. Sauf que la réalité c'est que ce moment opportun n'arrive jamais, que vous le repoussez de jour en jour et que votre dernière publication remonte au mois dernier.. Le conseil que je donne est de ne pas fixer de moment pour ça, en tout cas pas dans un premier temps. Pas tant que ce n'est pas devenu un réflexe de partager, twitter, etc, à tout moment de la journée. Prendre le réflexe de capter l'instant à partager et de le faire maintenant, sans remettre à plus tard. Bien sur, le problème c'est que souvent, en allumant facebook, on peut être vite absorbé par le flux d'informations passionnantes et se retrouver plusieurs dizaines de minutes plus tard en train de visionner une vidéo d'une meute de chiens ayant adopté un chaton... Et là c'est sur que 30 minutes pour partager une photo sur les réseaux sociaux … ce n'est pas rentable. Mais vous êtes grand n'est-ce pas alors un peu de bonne volonté :) Planifier est le second point. Vous avez un blog ? Il attend sagement votre prochain article depuis plusieurs mois ? Vous avez des tas d'idées d'actions de prospections à mettre en place ? Elles sont bien au chaud dans un carnet ? Planifier, c'est penser à votre "moi du futur" qui devra gérer les imprévus et qui n'aura ni l'énergie ni la volonté de réfléchir à quoi faire, comment s'y prendre, quel message, … Alors planifier sa communication, comme dans tous les domaines, c'est utiliser du temps pour ça, à un moment donné. Mais en prenant une fois une demi-journée par exemple pour planifier les mois à venir, vous libérez déjà votre esprit de cette partie et vous vous offrez la possibilité de gérer vos actions au quotidien sans avoir à y réfléchir, en allant à l'essentiel. L'importance du moment. Tout comme la communication est souvent le premier budget coupé dans les périodes difficiles, c'est aussi ce que les entrepreneurs ont tendance à remettre au dernier moment, le soir par exemple après une journée épuisante. J'entends souvent « Je dois faire ça le soir en rentrant alors vous comprenez c'est vraiment contraignant pour moi ». Ah bah mon coco, si tu programmes ça le soir au milieu du repas des enfants et du conjoint qui raconte sa journée, c'est pas le top c'est sur. Un peu comme lorsqu'on embarque dans ses valises une pile de dossiers à finir en se disant qu'on pourra travailler dans le train ou qu'on aura du temps dans le week-end... dream ! En fait, c'est une contrainte parce que c'est le mauvais moment et la mauvaise méthode. J'écris toujours les articles du blog en me levant le matin, sans avoir activé la wifi sur aucun appareil. Parce que mes idées sont fraîches, mon esprit est clair, pas totalement éveillé et pas encore pollué par toutes les stimulations de l'extérieur, les emails, le téléphone qui sonne, les To do List. Rien. Chacun a son moment. Il n'y a pas de règle et cela peut être le soir pour vous. Veillez simplement à l'énergie disponible. Le temps, il faut savoir le prendre dit-on parfois. Si je veux rester cohérente avec ma réflexion du début, non, on ne peut pas le prendre non plus, le temps, mais bon c'est une image. On parlait du lâcher prise la semaine dernière dans l'article du vendredi, il y a un peu de ça. Pourquoi n'avons nous pas le temps ? Parce qu'on s'inflige à soi-même des journées qui n'en finissent plus, des listes de tâches interminables, faire toujours plus, on devient des boulimiques du travail, des boulimiques du faire, de l'agir. Comme les enfants qui cumulent les activités extrascolaires et qui frôlent le burn-out à 12 ans. Pareil. Le temps c'est aussi une question de choix. Et si vos journées sont vraiment incompressibles, Hal Elrod vous invite, pour faire court, à vous lever plus tôt. Je vous conseille de lire son livre dont on parle de plus en plus ces derniers temps Miracle Morning > un article pour en savoir plus. 21/10/2016 Lacher prisePour les jours “sans”...
Que l’on travaille à son compte, dans une grande ou une petite entreprise nous passons nos journées à penser, penser à ce client qu’il faut recontacter, ce dossier que l’on doit obligatoirement boucler avant la fin de la semaine, cet événement à organiser… Et puis au delà du travail, nous pensons aussi à ce que nous allons faire à manger, à l’heure à laquelle nous allons chercher les enfants à l’école… Penser, réfléchir, jour et nuit, notre esprit ne cesse d’être sollicité. Tout est information autour de nous. Doit-on faire plusieurs choses à la fois ou ne vaut-il pas mieux avancer étapes par étapes au risque de ne rien faire de bien ? … Et puis il y a cette mission là, qui ne vous enchante pas, vous ne savez pas par où commencer ni même si vous avez réellement envie de la commencer… Le réveil un peu bougon, on enfile un jogging et ça ira, de toute façon on bosse de la maison aujourd’hui, on balaye ses mails, on file sur Facebook, première actu un article sur le taux de faillite des auto-entreprises, il manquerait plus que la tasse de café se renverse.. Vous la reconnaissez cette journée ? Alors on arrête tout ! Tout de suite !! De manière générale, lorsqu’on crée son entreprise, on a plein de projets, des idées qui fusent à 200km/h dans nos têtes et l’envie de réaliser tous ces projets, tout de suite ! On enchaîne les longues journées, parce que l’on a du travail et quelque part aussi parce que l’on a besoin de travailler pas uniquement au sens matériel du terme mais aussi pour sa propre conscience, parce que vous ne pouvez pas envisager une minute sans que vous pensiez à votre boulot, culpabilité quand tu nous tiens ! Mais coupable de quoi ? De prendre un dimanche entier à zonner sous la couette devant une série ou de s’octroyer une après-midi en semaine pour aller chez le coiffeur… Aïe ! C’est peut être commencer par se poser la question, à quel moment je ne suis plus satisfait de la journée que je suis en train de passer, à quel moment je ne prends plus de plaisir à faire ce que je fais ?... Et bien c’est à ce moment là qu’il faut lâcher prise ! Lâcher prise c’est quoi ? Un moment de faiblesse me direz-vous? Non ! L’espace d’un instant, ne penser à rien, ni ce qui vous énerve, ni ce qui vous satisfait. Voyez-en vous comme une page entièrement transparente, sans jugement ni contrainte. Rappelez-vous cette petite fille ou ce petit garçon qui court à toute allure, sans se soucier du but qu’il va atteindre, l’air frais sur son visage, le sol qui défile sous ses pas… L’inconscience à l’état brut ! Mais ça sert à quoi tout ça… Ca sert à se régénérer, n’ayez crainte, vos mails et vos clients n’auront pas disparus durant ce court laps de temps, vos idées brillantes non plus, vous en aurez peut-être même des nouvelles. Pour être au maximum de ses capacités, notre esprit a besoin de repos, de couper avec le reste du monde pour en ressortir plus apaisé et plus créatif. Lâcher prise c’est aussi minimiser l’impact du négatif, vous n’avez pas réussi à décrocher ce contrat ? Analyser brièvement pourquoi et passer au suivant. Nous ne sommes pas des machines de guerre (au sens strict du terme, car je sais qu’on fond rien ne vous arrête !), soyez-en conscient et surtout n’en ayez pas honte ! 17/10/2016 L'aventure commence !Le premier programme Divergentes démarre aujourd'hui ! Nous sommes impatientes de découvrir où nous mènera cette expérience et surtout ravies de lire l'enthousiasme des participants ! Un concours était ouvert pour gagner une participation au programme et ce sont finalement non pas une mais deux gagnantes qui débutent également l'aventure avec nous. Au programme de cette semaine : prise de contact, bilan personnalisé et plan d'actions pour les semaines à venir. C'EST QUOI CE PROGRAMME ?
Pour ceux qui n'auraient pas suivi, nous avons créé le premier programme Divergentes, dédié à celles et ceux qui lancent leur activité en indépendant. L'idée est partie d'un constat : nombreux sont ceux qui décident de créer leur activité et qui se retrouvent, une fois les démarches administratives passées, dans une sorte d'impasse, ne sachant pas par où commencer, tiraillés entre l'envie d'avancer et d'y croire et une certaine inertie accompagnée de tout un tas de mauvaises raisons qui incitent à attendre "le bon moment". Le programme, c'est un mois pour se faire confiance, concrétiser sa communication et mettre en place les premières actions. En savoir plus sur le Programme Divergentes [+] 14/10/2016 La jalousie est un vilain défautAvez-vous déjà ressenti un sentiment de jalousie ? Ne dîtes pas non, je ne vous crois pas.
Les relations amoureuses n'ont pas le monopole de la jalousie. On peut être jaloux en amitié comme dans toutes relations, y compris les relations professionnelles. Un pincement de jalousie en voyant des photos d'eau tropicale sur le mur facebook d'une de vos connaissances, en croisant un vieil ami qui vient d'acheter une nouvelle voiture, ou dans le bus en apercevant une belle fille / un beau mec ? Jusque là rien de bien méchant, tant que cela ne vire pas à l'obsession de toujours voir chez les autres ce qui vous manque (ou que vous croyez qu'il vous manque). Pourquoi sommes-nous jaloux au fond ? Avez-vous déjà eu ce sentiment que tout semble réussir pour les autres et que tout semble stagner pour vous ? En réalité, je crois plutôt que la réussite des autres, leur succès, leur vie qui ont l'air si parfaite (merci les réseaux sociaux) nous mettent, si on s'y attarde trop, dans une posture d'attente plutôt que d'action, provocant ainsi ce sentiment de rester sur place alors que le monde avance. Et n'est-il pas finalement plus facile et confortable de se morfondre en regardant cette vieille connaissance étaler sa réussite sur Facebook ou autres que de tout tenter pour atteindre son idéal, soi-même. Dans les relations professionnelles, la jalousie est fréquente. Avez-vous déjà ressenti ce sentiment face à quelqu'un de votre équipe qui semble obtenir tout ce qu'il demande ? Avez-vous ressenti ce sentiment face à un concurrent qui obtient un nouveau contrat, qui agrandit ses locaux, … ? Pourquoi ? En réalité, le fond de tout ça, c'est cette impression que la réussite des autres est un obstacle à nos propres succès. Comme si la réussite de quelqu'un, sa richesse, sa beauté, son intelligence, … laissaient moins d'espace pour notre propre richesse, notre beauté, notre intelligence, etc. L'idée brillante de quelqu'un ne laisse pas moins d'espace à votre prochaine idée brillante. C'est en discutant avec des clients que j'ai eu envie de faire cet article. Eux sont « victimes de leur succès » ou plutôt victimes des jalousies que ce succès provoque chez certaines personnes. L'expression « la jalousie est un vilain défaut » prend tout son sens. C'est un vilain défaut parce qu'il peut vous détruire de l'intérieur si vous-même vous êtes jaloux, trop souvent, excessivement. Un vilain défaut aussi parce qu'il peut vous amener à avoir un comportement destructeur avec les autres, à avoir des propos malveillants sous couvert de « c'est pour toi que je dis ça ». Parce qu'il faut le dire, la réussite attire toujours les médisances des « jaloux ». Peut être en avez-vous déjà été témoin ou victime. L'art de la critique étant tellement facile à côté de l'art de faire, d'entreprendre, avec tous les risques que cela comporte. Pourquoi cela nous touche ? Le problème avec les jaloux, c'est qu'ils savent souvent toucher juste, malgré eux. Et, parfois, ils peuvent réussir à faire renaître d'anciens doutes enfouis (pas si enfouis que ça finalement), des « est-ce que je fais ça assez bien » au « mais qui suis-je pour prétendre à cette réussite » en passant par les peurs, barrières, conditionnements, … accumulés au fil de l'enfance, de l'éducation que l'on a reçu, des dictas de la société et tout et tout. Alors vous, quelle est votre relation à la concurrence ? (en toute honnêteté) Si vous observez que votre rapport à la concurrence n'est pas très sain, essayez de comprendre pourquoi. Le problème vient rarement de l'extérieur. La concurrence ne fait que faire ressortir nos doutes, nos difficultés à se sentir légitime, crédible, etc, etc. Avoir conscience de votre jalousie est déjà un premier pas, vous permettant de travailler sur ses origines et de la maîtriser. En revanche, apprenez à laisser de côté les jaloux, aspirateurs d'énergies et créateurs d'angoisses. Concentrez-vous sur votre activité, vos propres actions, ce sont elles qui vous feront avancer. |
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Février 2024
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