Il paraît que les cartes de vœux sont démodées ? Vous n'avez pas pu le louper à moins de vivre dans une grotte, après le « black friday », ce sont les fêtes de fin d'année qui approchent.. Les sapins sont de sorties, les lumières sintillent dans les rues, la patinoire est installée place république et on va pouvoir boire du vin chaud à toute heure pendant le mois à venir. Je ne sais pas vous, mais nous avons fait le constat avec plusieurs personnes que souhaiter ses vœux pour la nouvelle année semble passé de mode. Nous avons tous remarqué avoir reçu beaucoup moins de messages de bonne année au passage en 2016 et ne pas en avoir vraiment envoyé beaucoup non plus, que ce soit au niveau personnel ou professionnel. Etrangement à l'heure où communiquer n'a jamais été aussi simple et aussi rapide quelque soit les distances qui nous séparent, il semblerait que l'on cherche à aller au plus simple et au plus vite encore . Ne recevez-vous jamais des emails sans que l'expéditeur n'ait pris le soin de dire bonjour. Peut être même que ça vous arrive d'en envoyer.. Allez on va pas vous blâmer, vous étiez pressé... Et les sms.. Pire encore. Bonjour, aurevoir, s'il vous plaît, … pourquoi faire ? On est trop jeune pour jouer les rabat joies mais est-ce que vous ne ressentez pas des fois l'envie de revenir à quelque chose de plus « cordial ». Ce client qui vous envoie un sms tard le soir, ce n'est pas grave. Vous n'êtes pas obligé de répondre, vous pouvez éteindre votre téléphone si vous ne voulez pas être dérangé. Mais le fait est que votre téléphone est allumé, que vous allez lire ce message et qu'il va peut être vous gâcher la soirée ou du moins vous occupez l'esprit à un moment où vous ne le souhaitez pas. Bref. Tout ça pour dire que les vœux c'est la même chose. Comme « communiquer » est devenu facile et accessible à tout moment, créer des moments de communication devient moins important. (Un peu comme faire le touriste dans sa propre ville. On fait souvent moins de visite dans sa ville qu'un étranger. Pourquoi ? Parce qu'on sait qu'on pourra y aller le week-end prochain, ou celui d'après). Alors les vœux se limitent souvent en janvier à un « tout d'abord mes meilleurs vœux pour cette année... et voilà les éléments pour le dossier X ». Et bien pour 2017, nous avons envie de formuler un souhait avant l'heure. Le souhait que la nouvelle année soit réellement le moment d'exprimer des sentiments sincères à ses proches bien sur mais aussi aux personnes moins proches qui, même si c'est à des fins professionnelles, font partie de nos vies et de notre quotidien. De prendre le temps de choisir de belles lettres pour écrire le message qui nous ressemble. Vous nous voyez venir c'est ça. Malinx le linx, les Divergentes, sur fond de nostalgie, elles veulent nous vendre des cartes de vœux. Allez Noël c'est bien le prétexte idéal pour proposer un produit ! J'ai même vu passer récemment une pub pour un antivirus « faites plaisir à vos proches pour noël avec notre offre premium » ou quelque chose dans le genre #truestory. On ne va pas se mentir, on a pleins d'idées pour donner un air de fête à votre image professionnelle ainsi que pour illustrer des vœux personnels. (Par contre on n'écrit pas les lettres aux mamies, ça c'est interdit par notre code de déontologie des Divergentes). Mais vous pouvez très bien réaliser vos vœux tout seul comme des grands et même si c'est un simple email sans fioriture. La seule recommandation que l'on donnerait est de mettre de côté l'aspect commercial et d'offrir de l'humain pour de vrai. Quelque soit votre métier et la relation que vous entretenez avec vos clients / fournisseurs / partenaires, tous sont un jour comme vous, de vrais humains qui ouvrent une page neuve pour une nouvelle année avec les mêmes besoins d'espoir et de joie. PS : On a déjà une idée pour les vœux de Divergentes. Vous pouvez vous abonner à la newsletter pour les recevoir en temps voulu... 25/11/2016 le secret sur les réseaux sociaux dévoiléVous avez une belle page facebook et même un compte twitter, vous avez personnalisé vos profils, créer de belles bannières et vous publiez consciencieusement tous les jours.. mais voilà vous ne décollez pas des 50 likes et c'est toujours votre cousine et votre voisin bizarre qui aiment ou commentent vos publications.
Aujourd'hui, nous avons eu envie de vous donner un coup de pouce et de vous aider à booster votre présence sur les réseaux sociaux afin d'avoir enfin des publications qui se partagent et de conquérir la toile. Ce secret bien gardé nous a été révélé par une cliente qui le tenait elle même d'une personne avisée en la matière. Et c'est tellement évident que vous n'en reviendrez pas de ne pas y avoir pensé avant. Vous arrive t-il de rester absorber devant une vidéo de chats réalisant toute sorte d'exploits ? Et bien vous n'êtes pas seul ! Les vidéos de chats et chatons connaissent un succès sans précédent sur les réseaux sociaux. Il est estimé que en 2016, nous avons visionné en moyenne 1460 minutes de chat par personne. L'attention d'un internaute est multiplié par 10 lorsqu'un chaton apparaît et par 20 si il est accompagné de sa maman. En bref, illustrer vos publications d'images ou de vidéos de chats vous garantit un nombre de vues optimum et la large diffusion de vos messages ! Ah bon vous ne voyez pas le rapport entre un chat et votre activité ? Etonnant. On est pas le 1er avril mais on ne pouvait s'empêcher de commencer cet article là dessus suite à une réflexion d'une cliente à qui quelqu'un avait vraiment recommandé de publier des chats #truestory. Une chance qu'on ne lui ait pas suggéré de publier des photos de femmes légèrement vêtues... Plus sérieusement, si les chiffres énoncés ci-dessus sont fictifs, il est vrai que les chats sont les stars de la toile et dès que Lilou (mon chat) apparaît sur une publication les likes augmentent... Mais quels likes ? Des personnes qui aiment les chats, qui trouvent la photo mignonne mais ont-ils lu pour autant l'article en lien ? Non. Quel est votre objectif ? Que représente un like ? Avoir pleins de like et beaucoup de Followers sur twitter (quoi ? vous n'utilisez pas twitter ?), c'est bien. Toucher la cible que vous recherchez, c'est mieux. On veillera bien sûr à respecter les règles principales en matière d'efficacité sur les réseaux sociaux telles que - Accompagner vos posts de photos ou vidéos parce que oui une publication sans visuel attire peu l’œil au milieu du flux d'informations, - Utiliser les # qui fonctionnent mais en restant en lien avec votre thème, - Publier à des horaires pertinents (à quelle heure votre cible est susceptible d'être connectée ?), etc. Pour avoir d'autres astuces sur le développement de vos réseaux sociaux, il y a pleins d'articles sur le sujet que vous pourrez trouver en quelques clics sur notre ami Google. Notre propos est surtout de dire que, quelque soit les astuces et les solutions « qui marchent », ne vous perdez pas dans la « chasse aux like et aux amis » au risque d'y laisser votre crédibilité. En espérant ne pas vous avoir trop déçu, il n'y a pas de secret ni de formule magique. La régularité, la sincérité et l'authenticité sont surement vos meilleurs alliés et surtout le meilleur moyen de créer du lien avec votre cible, celle qui vous intéresse vraiment et pas juste un flot d'internautes qui vogue sans jamais s'intéresser à ce que vous faites et qui ne deviendront jamais des clients potentiels. PS : aucun animal n'a été maltraité pour la réalisation de cet article. 18/11/2016 Blog PART 2Dans l'article de la semaine dernière, on abordait la question du blog sous l'angle "régularité et inspiration" (à lire par ici).
Mais vous n'en êtes peut être pas encore là et vous vous demandez si il peut être utile pour votre activité de tenir un blog ? On essaye de répondre en quelques points. A quoi ça sert un blog ? C'est un espace intégré à votre site internet (ou pas), qui vous offre une opportunité de créer un lien avec les internautes de façon plutôt spontanée et régulière. Il est comme le trait d'union entre votre site internet et les réseaux sociaux. L'intérêt ? Pouvoir communiquer régulièrement avec votre cible, l'informer de votre actualité, d'événements, mais aussi lui donner des conseils, des astuces, lui parler de vous et d'elle (surtout). L'idée étant de créer une relation de confiance, une proximité, de donner de l'humanité aussi à votre entreprise. L'intérêt est aussi d'avoir de la matière, du contenu pour communiquer sur les réseaux sociaux. C'est également un excellent outil pour booster votre référencement puisque vous allez y publier de nouvelles informations régulièrement et que cela sera du contenu intéressant et utile (normalement) pour vos visiteurs qui passeront du coup plus de temps sur votre site. Qu'est-ce qu'on y raconte ? Pensez à l'une de vos relations qui parle toujours d'elle sans s'intéresser à vous.. Vous voyez le genre de personne dont je parle ? Celle à qui vous hésitez à dire "ça va" sauf si vous avez l'après-midi devant vous. Et bien, derrière un écran c'est pareil. Si votre blog ne parle que de vous, de vos produits, de vos services, de vos promotions, de vos tarifs, etc, vous n'allez pas intéresser grand monde ou du moins pas longtemps. La personne qui vous lit, doit s'identifier, reconnaître dans ce que vous racontez ses propres problématiques, ses histoires personnelles. Elle doit apprendre aussi. Nous aimons tous apprendre, lire quelque chose de percutant qui fait "tilt" avec nos préoccupations du moment. Vos articles, vos histoires, doivent respirer le vrai, la sincérité, l'humain. La surinformation, la publicité à outrance, la société d'information et de communication dans laquelle nous vivons est en train de nous étouffer. Et chacun de nous recherche plus de vrai. Du vrai et du simple. C'est ce que l'on doit ressentir en vous lisant. Avez-vous le bon métier pour tenir un blog ? Vous ne travaillez ni dans la mode ni dans la déco ? Et ? vous n'avez donc rien à dire ? Vous ne conseillez jamais vos clients ? Vous n'avez pas d'actualités ? Nous avons créé un blog pour l'un de nos clients spécialistes des climatisations et chauffages.. et même si ce n'est pas le domaine le plus facile pour trouver des idées d'articles, on y arrive. Résultat, cette entreprise familiale reste en lien avec son époque et les attentes de sa clientèle. Elle offre son expertise, ses conseils, gratuitement, au delà de son magasin, via internet. Aussi, les statistiques des réseaux sociaux augmentent parce que les internautes trouvent un intérêt à les suivre et la communauté s'agrandit. Vous pensez que votre cible est trop âgée pour aller sur internet ? Allez vous balader dans un aéroport ou une gare.. vous serez surpris de voir les papis-mamis 2.0 les yeux rivés sur leur tablette (et chacun la sienne s'il vous plait) ! Bien sûr, il en reste beaucoup allergiques à internet et tout ce qui ressemble de près ou de loin au numérique, chez les personnes âgées mais chez les jeunes également. Eux, iront vous trouver par un autre moyen, se rendront dans votre boutique ou vous contacterons par téléphone_ou par fax :)_ Gardez néanmoins à l'esprit que le blog s'adresse à tous les autres. Les connectés, ceux qui font leurs achats en ligne après 22h, ceux qui surfent sur les sites de conseil pour construire eux même une cabane de jardin, ceux qui parcourent les articles en tout genres et cherchent l'information par eux-même. Toujours pas convaincu sur l'intérêt d'un blog ? Pourtant, vous êtes bien là vous... 12/11/2016 Ecrire pour son blogCréer un blog professionnel, c'est choisir d'instaurer une relation proche avec les internautes et idéalement des clients potentiels. Et comme dans toute relation, cela demande qu'on s'y investisse, qu'on y consacre du temps, de l'énergie. Pour votre entreprise, vous vous posez peut être la question sur l'utilité de créer un blog, quel contenu, qui va me lire, etc. Dans des articles à venir, nous aborderons ces questions mais commençons aujourd'hui par la difficulté dans l'écriture et la régularité. (Si vous n'avez pas le temps de mettre à jour votre blog, vous pouvez lire l'article de la semaine dernière) Si vous tenez un blog, vous avez surement vécu de nombreuses fois l'angoisse de la "page blanche", la découverte avec surprise que votre dernier article remonte au mois dernier, des heures à errer sur internet pour trouver une idée de sujet, etc. Depuis plusieurs mois, tous les vendredis, nous publions fièrement notre article de la semaine, portant sur des sujets qui nous animent. Vous devez sans doute vous dire “Facile, elles font de la com". Et bien pas toujours. Le vieil adage "les cordonniers sont les plus mal chaussés" se vérifie toujours et il m'a fallu des années avant d'arriver à une régularité sur le blog. Comment ? En décidant simplement un jour qu'il y aurait un article chaque semaine, et que ce serait le vendredi. Si vous repoussez toujours la publication de vos articles, cela peut être une astuce à essayer. Le tout étant de fixer une date précise (le 5 de chaque mois, un dimanche sur deux, .. vous avez compris l'idée) et de s'y tenir. Surtout au début, pas d'échappatoire et tant pis si vous avez tout un tas d'autres choses à faire. Et même si ça peut paraître ridicule de s'imposer à soi-même une contrainte alors que personne ne va vous en vouloir, voire que pas grand monde ne vous lit (pas encore), c'est cette contrainte qui peut vous aider à créer une routine. Ce n'est pour autant pas une formule magique et cela ne résoudra pas vos difficultés à trouver des idées ni à écrire. Pourquoi est-ce si difficile de publier un article ? Ne seriez-vous pas un peu perfectionniste sur les bords ? Je dis ça, je dis rien c'est juste une hypothèse. Néanmoins, si vous avez ce sentiment que vos articles ne sont jamais assez bien, si vous avez commencé à écrire sur des dizaines de sujets sans aller au bout, si vous relire vous donne la migraine, .. il y a peut être un peu de ça sur fond de manque de confiance en soi, peur du jugement et tout le tralala habituel. L'un des pièges à mon avis est de trop se documenter, faire des recherches sur votre sujet, lire ce qu'on écrit les autres, ... Nous ne sommes pas journaliste et le blog vous offre cette liberté de vous exprimer spontanément et naturellement sur des sujets que vous maîtrisez. Donc essayez peut être d'écrire librement, comme si vous parliez avec un ami. Un bon article n’est pas forcément fait de belles phrases bien construites avec des mots très compliqués pour montrer qu'on est un expert. Vos meilleurs articles seront surement ceux que vous écrirez d'une traite, sans avoir à vous relire ou presque, sauf peut être pour corriger les erreurs de frappe lorsque vos doigts se seront emballés un peu vite sur le clavier ! Une discussion avec un client, une expérience vécue, une conversation captée dans un café, les idées d'articles peuvent naître à chaque instant, soyez-y juste à l'écoute et ne repoussez jamais l'inspiration pour remettre à plus tard l'écriture, ou du moins ayez le réflexe de noter en quelques phrases votre idée générale. C'est lors d'un rendez-vous de suivi avec l'une des participantes du Programme que nous avons eu l'envie d'écrire cet article. Elle nous exprimait justement ses difficultés à tenir son blog et on s'est dit que ce n'était surement pas la seule... Alors si c'est aussi votre cas, je vous conseille de prendre une feuille demain matin à la première heure (ou une page word) et d'écrire simplement ce qui vous vient à l'esprit sur votre métier et de voir ce qu'il en ressort. PS : on va pas se mentir, cet article a été publié ce samedi au lieu de vendredi. On appelle ça un joker ;) N'en abusez pas. 4/11/2016 A priori, c'est l'article du vendredi !Nous avons tous des a priori (aprioris, à priori, ... si vous avez LA règle orthographique à appliquer, nous sommes preneuses !) Ils sont notre éducation, nos peurs, nos expériences, nos ignorances aussi. Ils sont les raccourcis que nous prenons, les histoires que l' « on » raconte. Ils sont malgré nous et on peut avoir la plus grande des ouvertures d'esprit, ils sont là. Nous en tenons compte ou pas, nous en sommes plus ou moins conscients mais ils existent bel et bien. Les a priori peuvent parfois nous faire passer à côté d'opportunités. « Pourquoi proposer mes services à cette personne, elle a surement déjà tout ce qu'il lui faut. » « Je ne vais pas lancer cette idée, d'autres l'ont surement déjà eu » « Je ne vais pas postuler dans cette entreprise, ils ont surement des CV plus qualifiés », etc, etc. Prenez quelques instants et tentez de vous souvenir du dernier a priori qui vous a empêché de faire quelque chose ou plutôt qui vous a donné une bonne excuse de ne pas le faire... Alors vous qui êtes entrepreneur, si vous devez choisir un domaine dans lequel vos a priori sont à laisser de côté, choisissez la prospection ! Quelque soit le moyen, téléphone, en direct, mailing, … lorsque vous prospectez, les a priori sont vos pires ennemis. Cette entreprise a l'air bien trop importante pour avoir besoin de vos services ? Ce particulier n'a pas l'air d'avoir le budget de s'offrir vos produits ? Et bien si c'est le cas vous le saurez bien assez tôt. Mais si par hasard vous vous trompiez, vous passez peut être à côté d'une vente ! Prospectez donc sans préjugé et sans complexe. Si chacun d'entre nous peut être freiné par ses a priori, il en est de même pour vos clients. Et oui, eux aussi, en être humain qu'ils sont, ont des idées reçues sur vous, sur votre activité, sur votre métier. Nous vous proposons un petit exercice auquel se sont prêtés les participants au Programme Divergentes (c'est quoi ce programme ? C'est par ici) > Prenez une feuille et notez la liste des a priori liés à votre activité en général. Exemple : l'un des a priori pour notre activité de conseil en communication est le prix « la pub c'est cher et passer par une agence c'est hors de prix ». > Sélectionnez ensuite les a priori qui sont d'importants freins pour votre cible principale. Un autre exemple, une des participantes est Art Thérapeute et l'un des a prioris lié à son activité en général est le fait que si l'on fait une thérapie, c'est que l'on est malade. Cela constitue donc un frein pour certains de ses clients potentiels. Certains a priori se révèlent peut être justifiés au regard de votre entreprise. Une entreprise spécialisée dans la construction haut de gamme peut être victime d'un a priori lié au prix mais dans la mesure où sa cible principale doit avoir un budget conséquent et appartenir à une certaines catégorie socio-professionnelle (CSP + pour les intimes), cet a priori est finalement justifié et n'est pas un frein pour la cible principale. > Identifiez donc clairement les a priori qui vous concernent et qui sont réellement un frein pour vos clients potentiels. Bon et maintenant qu'est-ce qu'on en fait ? Le problème avec les a priori de vos clients potentiels, c'est que cela devient un frein à l'achat de vos produits ou services. Une partie de votre stratégie de communication doit donc y répondre afin de lever ces freins. > Reprenez donc votre liste et en face de chaque a priori notez en quoi vous répondez à ce frein. En toute honnêteté et sincérité, que pouvez-vous proposer de rassurant à un client qui émettrait cette idée reçue ? Encore un exemple : Nous travaillons depuis leur ouverture avec le studio Moving Yoga. L'un des a prioris lié au Yoga en général est « je ne peux pas en faire, je ne suis pas souple ». Comment lève t-on ce frein ? En montrant dans les différents supports de communication qu'il n'y a pas que des postures qui requiert une grande souplesse, en valorisant la diversité des pratiquants (âges, sexes, morphologie, …), en expliquant les principes du Yoga où l'on ne cherche pas à atteindre un objectif, ..etc, etc. Un autre a prioris lié au Yoga « c'est une activité très calme pour personnes agées ». Là encore, on cherchera dans les supports de communication, via les publications sur internet, …, de mettre en avant la grande diversité de cours qui sont proposés dont certains sont très sportifs, on valorisera également la présence de sportifs y compris de haut niveau. A vous donc de jouer. Votre image doit être construite à partir de ce que vous êtes, des valeurs que vous souhaitez transmettre mais vous ne pouvez pas ignorer les a priori qui vous incombent. Il y a ceux liés à votre activité en général mais ils peuvent être aussi directement liés à vous même, à l'endroit où vous vous êtes installé, à l'ancien propriétaire des lieux si c'est un commerce ou un restaurant par exemple. En travaillant votre communication, vous devez sans cesse vous poser la question "que pensent mes clients potentiels de moi, de mon métier, de mon secteur d'activité, … ; Quels freins existent et comment je peux y répondre?" Vous ne répondrez pas à tous, ce n'est pas le but. Et vouloir absolument répondre à un frein en donnant des arguments basés sur une tromperie ne fonctionnera pas ou alors à très court terme pour venir renforcer une mauvaise image à moyen/long terme. 28/10/2016 Je n'ai pas le temps...« Je n'ai pas le temps » C'est surement la meilleure de nos plus mauvaises excuses, notre alibi préféré. Je n'ai pas le temps de faire du sport, je n'ai pas le temps de cuisiner pour manger mieux, je n'ai pas le temps d'appeler mes amis lointains, … Le non sens est dans l'expression même. Elle donne le postulat de départ que le temps est quelque chose que nous possédons comme l'argent. Comme si nous pouvions « Avoir » le temps. Le temps est indépendant de nous même. Il est, tout simplement. Les secondes défilent quoi que l'on fasse. Alors posséder le temps voudrait dire pouvoir se l’accaparer, le garder pour nous, ou pour plus tard. Avec des « je n'ai pas le temps », on garde de côté, pour plus tard (quand j'aurai le temps bien sur, puisque c'est bien connu, un jour on aura tous le temps mais pas maintenant). On garde de côté tout un tas de bonnes résolutions, de projets, d'envies, … Je ne jette pas la pierre, je suis la première à rêver de journée à 48h pour "avoir le temps" de faire tout ce que j'ai prévu. J'entends souvent, je n'ai pas le temps de m'occuper de la communication de mon entreprise, je n'ai pas le temps de mettre à jour mon site internet, je n'ai pas le temps de travailler ma présence sur les réseaux sociaux. Le temps est presque plus souvent le problème que l'argent. Alors pour quoi avez-vous le temps ? J'utilise une application qui est très simple mais bien faite pour mesurer le temps passer sur chacun de mes projets, c'est Toggl Timer. Avoir conscience de ce à quoi on occupe son temps est déjà une première chose (là c'est comme pour la gestion de son argent pour le coup) Il existe d'autres applications sympas comme pour mesurer combien de temps vous passer sur votre smartphone ou tablette comme "Moment" par exemple. Je vous laisse le soin de gérer votre problème de temps pour aller faire du sport et manger plus sainement, et je resterai sur ma partie. De combien de temps avez-vous besoin pour prendre une photo avec votre smartphone et la publier sur facebook avec une petite phrase qui dit le magasin est ouvert ou bien la nouvelle collection est arrivée ? Même avec une mauvaise connexion il ne vous faudra pas plus d'une minute. Vous n'avez pas une minute le matin et une minute l'après-midi ? Vous n'allez donc jamais aux toilettes ?! Imaginez la facilité de nos vies actuelles. Il y a quelques années, il aurait fallu prendre une photo avec un appareil photo, rentrer au bureau ou à la maison, brancher tout ça sur un bon gros ordinateur, attendre qu'il s'allume, récupérer la photo, …. et je ne parle pas du temps où il fallait attendre plusieurs jours pour la faire développer et créer une affiche à base de découpage collage. Nous sommes la société de l’instantané, et tout va tellement vite que nous avons encore moins le temps. L'erreur courante avec la gestion des réseaux sociaux pour un entrepreneur est de vouloir justement consacrer du temps pour ça, de vouloir attendre un moment opportun, de pouvoir bien s'installer et passer 2h à ne faire que ça. Sauf que la réalité c'est que ce moment opportun n'arrive jamais, que vous le repoussez de jour en jour et que votre dernière publication remonte au mois dernier.. Le conseil que je donne est de ne pas fixer de moment pour ça, en tout cas pas dans un premier temps. Pas tant que ce n'est pas devenu un réflexe de partager, twitter, etc, à tout moment de la journée. Prendre le réflexe de capter l'instant à partager et de le faire maintenant, sans remettre à plus tard. Bien sur, le problème c'est que souvent, en allumant facebook, on peut être vite absorbé par le flux d'informations passionnantes et se retrouver plusieurs dizaines de minutes plus tard en train de visionner une vidéo d'une meute de chiens ayant adopté un chaton... Et là c'est sur que 30 minutes pour partager une photo sur les réseaux sociaux … ce n'est pas rentable. Mais vous êtes grand n'est-ce pas alors un peu de bonne volonté :) Planifier est le second point. Vous avez un blog ? Il attend sagement votre prochain article depuis plusieurs mois ? Vous avez des tas d'idées d'actions de prospections à mettre en place ? Elles sont bien au chaud dans un carnet ? Planifier, c'est penser à votre "moi du futur" qui devra gérer les imprévus et qui n'aura ni l'énergie ni la volonté de réfléchir à quoi faire, comment s'y prendre, quel message, … Alors planifier sa communication, comme dans tous les domaines, c'est utiliser du temps pour ça, à un moment donné. Mais en prenant une fois une demi-journée par exemple pour planifier les mois à venir, vous libérez déjà votre esprit de cette partie et vous vous offrez la possibilité de gérer vos actions au quotidien sans avoir à y réfléchir, en allant à l'essentiel. L'importance du moment. Tout comme la communication est souvent le premier budget coupé dans les périodes difficiles, c'est aussi ce que les entrepreneurs ont tendance à remettre au dernier moment, le soir par exemple après une journée épuisante. J'entends souvent « Je dois faire ça le soir en rentrant alors vous comprenez c'est vraiment contraignant pour moi ». Ah bah mon coco, si tu programmes ça le soir au milieu du repas des enfants et du conjoint qui raconte sa journée, c'est pas le top c'est sur. Un peu comme lorsqu'on embarque dans ses valises une pile de dossiers à finir en se disant qu'on pourra travailler dans le train ou qu'on aura du temps dans le week-end... dream ! En fait, c'est une contrainte parce que c'est le mauvais moment et la mauvaise méthode. J'écris toujours les articles du blog en me levant le matin, sans avoir activé la wifi sur aucun appareil. Parce que mes idées sont fraîches, mon esprit est clair, pas totalement éveillé et pas encore pollué par toutes les stimulations de l'extérieur, les emails, le téléphone qui sonne, les To do List. Rien. Chacun a son moment. Il n'y a pas de règle et cela peut être le soir pour vous. Veillez simplement à l'énergie disponible. Le temps, il faut savoir le prendre dit-on parfois. Si je veux rester cohérente avec ma réflexion du début, non, on ne peut pas le prendre non plus, le temps, mais bon c'est une image. On parlait du lâcher prise la semaine dernière dans l'article du vendredi, il y a un peu de ça. Pourquoi n'avons nous pas le temps ? Parce qu'on s'inflige à soi-même des journées qui n'en finissent plus, des listes de tâches interminables, faire toujours plus, on devient des boulimiques du travail, des boulimiques du faire, de l'agir. Comme les enfants qui cumulent les activités extrascolaires et qui frôlent le burn-out à 12 ans. Pareil. Le temps c'est aussi une question de choix. Et si vos journées sont vraiment incompressibles, Hal Elrod vous invite, pour faire court, à vous lever plus tôt. Je vous conseille de lire son livre dont on parle de plus en plus ces derniers temps Miracle Morning > un article pour en savoir plus. 21/10/2016 Lacher prisePour les jours “sans”...
Que l’on travaille à son compte, dans une grande ou une petite entreprise nous passons nos journées à penser, penser à ce client qu’il faut recontacter, ce dossier que l’on doit obligatoirement boucler avant la fin de la semaine, cet événement à organiser… Et puis au delà du travail, nous pensons aussi à ce que nous allons faire à manger, à l’heure à laquelle nous allons chercher les enfants à l’école… Penser, réfléchir, jour et nuit, notre esprit ne cesse d’être sollicité. Tout est information autour de nous. Doit-on faire plusieurs choses à la fois ou ne vaut-il pas mieux avancer étapes par étapes au risque de ne rien faire de bien ? … Et puis il y a cette mission là, qui ne vous enchante pas, vous ne savez pas par où commencer ni même si vous avez réellement envie de la commencer… Le réveil un peu bougon, on enfile un jogging et ça ira, de toute façon on bosse de la maison aujourd’hui, on balaye ses mails, on file sur Facebook, première actu un article sur le taux de faillite des auto-entreprises, il manquerait plus que la tasse de café se renverse.. Vous la reconnaissez cette journée ? Alors on arrête tout ! Tout de suite !! De manière générale, lorsqu’on crée son entreprise, on a plein de projets, des idées qui fusent à 200km/h dans nos têtes et l’envie de réaliser tous ces projets, tout de suite ! On enchaîne les longues journées, parce que l’on a du travail et quelque part aussi parce que l’on a besoin de travailler pas uniquement au sens matériel du terme mais aussi pour sa propre conscience, parce que vous ne pouvez pas envisager une minute sans que vous pensiez à votre boulot, culpabilité quand tu nous tiens ! Mais coupable de quoi ? De prendre un dimanche entier à zonner sous la couette devant une série ou de s’octroyer une après-midi en semaine pour aller chez le coiffeur… Aïe ! C’est peut être commencer par se poser la question, à quel moment je ne suis plus satisfait de la journée que je suis en train de passer, à quel moment je ne prends plus de plaisir à faire ce que je fais ?... Et bien c’est à ce moment là qu’il faut lâcher prise ! Lâcher prise c’est quoi ? Un moment de faiblesse me direz-vous? Non ! L’espace d’un instant, ne penser à rien, ni ce qui vous énerve, ni ce qui vous satisfait. Voyez-en vous comme une page entièrement transparente, sans jugement ni contrainte. Rappelez-vous cette petite fille ou ce petit garçon qui court à toute allure, sans se soucier du but qu’il va atteindre, l’air frais sur son visage, le sol qui défile sous ses pas… L’inconscience à l’état brut ! Mais ça sert à quoi tout ça… Ca sert à se régénérer, n’ayez crainte, vos mails et vos clients n’auront pas disparus durant ce court laps de temps, vos idées brillantes non plus, vous en aurez peut-être même des nouvelles. Pour être au maximum de ses capacités, notre esprit a besoin de repos, de couper avec le reste du monde pour en ressortir plus apaisé et plus créatif. Lâcher prise c’est aussi minimiser l’impact du négatif, vous n’avez pas réussi à décrocher ce contrat ? Analyser brièvement pourquoi et passer au suivant. Nous ne sommes pas des machines de guerre (au sens strict du terme, car je sais qu’on fond rien ne vous arrête !), soyez-en conscient et surtout n’en ayez pas honte ! 17/10/2016 L'aventure commence !Le premier programme Divergentes démarre aujourd'hui ! Nous sommes impatientes de découvrir où nous mènera cette expérience et surtout ravies de lire l'enthousiasme des participants ! Un concours était ouvert pour gagner une participation au programme et ce sont finalement non pas une mais deux gagnantes qui débutent également l'aventure avec nous. Au programme de cette semaine : prise de contact, bilan personnalisé et plan d'actions pour les semaines à venir. C'EST QUOI CE PROGRAMME ?
Pour ceux qui n'auraient pas suivi, nous avons créé le premier programme Divergentes, dédié à celles et ceux qui lancent leur activité en indépendant. L'idée est partie d'un constat : nombreux sont ceux qui décident de créer leur activité et qui se retrouvent, une fois les démarches administratives passées, dans une sorte d'impasse, ne sachant pas par où commencer, tiraillés entre l'envie d'avancer et d'y croire et une certaine inertie accompagnée de tout un tas de mauvaises raisons qui incitent à attendre "le bon moment". Le programme, c'est un mois pour se faire confiance, concrétiser sa communication et mettre en place les premières actions. En savoir plus sur le Programme Divergentes [+] 14/10/2016 La jalousie est un vilain défautAvez-vous déjà ressenti un sentiment de jalousie ? Ne dîtes pas non, je ne vous crois pas.
Les relations amoureuses n'ont pas le monopole de la jalousie. On peut être jaloux en amitié comme dans toutes relations, y compris les relations professionnelles. Un pincement de jalousie en voyant des photos d'eau tropicale sur le mur facebook d'une de vos connaissances, en croisant un vieil ami qui vient d'acheter une nouvelle voiture, ou dans le bus en apercevant une belle fille / un beau mec ? Jusque là rien de bien méchant, tant que cela ne vire pas à l'obsession de toujours voir chez les autres ce qui vous manque (ou que vous croyez qu'il vous manque). Pourquoi sommes-nous jaloux au fond ? Avez-vous déjà eu ce sentiment que tout semble réussir pour les autres et que tout semble stagner pour vous ? En réalité, je crois plutôt que la réussite des autres, leur succès, leur vie qui ont l'air si parfaite (merci les réseaux sociaux) nous mettent, si on s'y attarde trop, dans une posture d'attente plutôt que d'action, provocant ainsi ce sentiment de rester sur place alors que le monde avance. Et n'est-il pas finalement plus facile et confortable de se morfondre en regardant cette vieille connaissance étaler sa réussite sur Facebook ou autres que de tout tenter pour atteindre son idéal, soi-même. Dans les relations professionnelles, la jalousie est fréquente. Avez-vous déjà ressenti ce sentiment face à quelqu'un de votre équipe qui semble obtenir tout ce qu'il demande ? Avez-vous ressenti ce sentiment face à un concurrent qui obtient un nouveau contrat, qui agrandit ses locaux, … ? Pourquoi ? En réalité, le fond de tout ça, c'est cette impression que la réussite des autres est un obstacle à nos propres succès. Comme si la réussite de quelqu'un, sa richesse, sa beauté, son intelligence, … laissaient moins d'espace pour notre propre richesse, notre beauté, notre intelligence, etc. L'idée brillante de quelqu'un ne laisse pas moins d'espace à votre prochaine idée brillante. C'est en discutant avec des clients que j'ai eu envie de faire cet article. Eux sont « victimes de leur succès » ou plutôt victimes des jalousies que ce succès provoque chez certaines personnes. L'expression « la jalousie est un vilain défaut » prend tout son sens. C'est un vilain défaut parce qu'il peut vous détruire de l'intérieur si vous-même vous êtes jaloux, trop souvent, excessivement. Un vilain défaut aussi parce qu'il peut vous amener à avoir un comportement destructeur avec les autres, à avoir des propos malveillants sous couvert de « c'est pour toi que je dis ça ». Parce qu'il faut le dire, la réussite attire toujours les médisances des « jaloux ». Peut être en avez-vous déjà été témoin ou victime. L'art de la critique étant tellement facile à côté de l'art de faire, d'entreprendre, avec tous les risques que cela comporte. Pourquoi cela nous touche ? Le problème avec les jaloux, c'est qu'ils savent souvent toucher juste, malgré eux. Et, parfois, ils peuvent réussir à faire renaître d'anciens doutes enfouis (pas si enfouis que ça finalement), des « est-ce que je fais ça assez bien » au « mais qui suis-je pour prétendre à cette réussite » en passant par les peurs, barrières, conditionnements, … accumulés au fil de l'enfance, de l'éducation que l'on a reçu, des dictas de la société et tout et tout. Alors vous, quelle est votre relation à la concurrence ? (en toute honnêteté) Si vous observez que votre rapport à la concurrence n'est pas très sain, essayez de comprendre pourquoi. Le problème vient rarement de l'extérieur. La concurrence ne fait que faire ressortir nos doutes, nos difficultés à se sentir légitime, crédible, etc, etc. Avoir conscience de votre jalousie est déjà un premier pas, vous permettant de travailler sur ses origines et de la maîtriser. En revanche, apprenez à laisser de côté les jaloux, aspirateurs d'énergies et créateurs d'angoisses. Concentrez-vous sur votre activité, vos propres actions, ce sont elles qui vous feront avancer. 30/9/2016 Où laisse t-on nos rêves ?Après une après-midi avec les étudiants de l'IUT et une soirée entre amis à discuter de la Vie, je me suis dit, à quoi ça rime tout ça au fond.
Je vois ces étudiants, qui étudient sans trop savoir pourquoi ni où ça mène, pour avoir un boulot, pour gagner sa vie, pour s'offrir quelques voyages et moments de plaisir. Sans grandes convictions de l'avenir qui les attend, ils ne visent rien de particulier, « juste » un boulot. Aussi, ils ont bien du mal à dire de quoi ils rêvent, même l'espace d'un jeu de rôle. Dans un exercice de mise en situation, je leur demandais simplement d'énoncer un souhait, un rêve, tout ce qu'ils voulaient. Très peu sont capables de répondre du tac au tac, la plupart reviennent par défaut et sans y croire à des classiques de « partir vivre sur une ile » ou « être riche ». Pourquoi ont-ils tant de difficultés à énoncer un rêve. Ils ont 18 ans et ils ne semblent pas s'offrir le luxe de rêver. Parce que c'est trop éloigné de la réalité peut être, de ce que la société semble avoir à leur proposer. Où sont passées nos ambitions, nos passions ? Les crises, l'actualité dans laquelle nous baignons, toute cette morosité impacte certainement les esprits et la capacité à se projeter vers un avenir meilleur. Plus tard, je partage un moment avec un couple d'amis. Lui a un rêve mais il semble lointain, en attendant, il fait un bon boulot à responsabilité, un bon poste dont certains pourraient rêver. Mais ce n'est pas son rêve. Il n'a pas à se plaindre mais il aspire à autre chose, à plus de liberté, à ne pas être toute une vie, l'esclave d'un système.. (c'est un divergent !) Pourtant, mettra t-il les choses en place pour aller au bout de ces ambitions ? L'avenir nous le dira. A quel moment arrête t-on d'avoir des rêves, de les formuler et d'y croire. A quel moment deviennent-ils trop utopiques, trop éloignés de ce que l'on attend de nous. A quel moment construisons nous, nous-même, les barrières qui nous empecheront d'avancer demain ? Je lisais un commentaire sur un groupe récemment, une femme qui décide de tout plaquer pour ouvrir un bar à cocktails sur une ile. Elle exprimait son angoisse, sa peur de faire une erreur, son sentiment presque d'être carrément folle. Elle était perdue et visiblement peu soutenue par son entourage même s'ils étaient surement plein de bienveillance. Pourquoi les gens sont-ils si sceptiques à voir quelqu'un tenter de sortir du rang ? Peut être parce que l'idée même de quitter cette forme de confort qui consiste à ne pas trop se poser de questions est angoissante. Et voir d'autres s'y risquer renvoie à ses propres peurs, ses propres freins. A quoi ça rime ? Pourquoi l'humain répète t-il encore et encore les shémas qui le mènent aux regrets ? Pourquoi les personnes âgées répètent «il faut profiter, si j'avais su à ton âge » et pourquoi les jeunes n'entendent rien. Nous croyons avoir le temps. Le temps pour faire plus tard. Et plus tard, les années, la routine et son confort éloignent les rêves. C'est quoi d'abord, avoir un rêve ? Doit-il être absolument teinté d'eau turquoise ou de billet vert ? Je ne pense pas. Avoir un rêve, c'est déjà sentir ce qui nous fait vibrer. Ce n'est pas nécessairement avoir un objectif précis à atteindre. Poursuivre ses rêves, c'est identifier ce qui fait naître en nous cet enthousiasme qui rend la tâche si facile. C'est identifier aussi ce que l'on ne veut pas être, la façon dont on ne veut pas voir sa vie se dérouler. Reconnaître les moments où tout semble s'aligner, où l'on est à sa place. Et faire en sorte de créer le plus d'occasion de vivre ces instants. Non pas un jour plus tard lorsque l'on aura ceci ou cela, mais aujourd'hui, ici et maintenant. C'était il y a quelques jours, sur mon vélo, j'allais à mon cours de Yoga. J'avais un peu mal aux fesses bien que cette vieille selle soit rembourée, j'avais chaud et la montée s'annonçait rude. Mais en réalité, j'avais l'impression d'avoir 10 ans, j'étais libre. Complètement libre, légère et insouciente. J'étais à ma place. J'ai pensé à ce que je faisais, mon quotidien, les personnes qui m'entourent, la façon dont je grandis, et je me suis sentie alignée. Ce sentiment est particulier, très subtil, sensible et précieux. Il demande de regarder autour de soi et d'être capable d'apprécier ce que l'on a, de se demander aussi qui l'on veut être, ce que l'on veut vivre. Garder ses rêves c'est d'abord ne pas perdre de vue cette idée là. Qu'allez-vous faire aujourd'hui pour être aligné avec la vie dont vous avez envie ? On dit souvent « la vie est trop courte » et « vivre chaque jour comme si c'était le dernier ». En réalité, nous vivons comme des immortels, persuadés que le meilleur arrivera plus tard. Où sont passés vos rêves d'enfant, votre enthousiasme ? Sont-ils étouffés par les peurs et les problèmes d'adultes ? Quelle est la dernière fois où vous êtes sorti de votre zone de confort ? Où vous avez pris un risque ? |
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Février 2024
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